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JEU D’ÉCHECS ET LITTÉRATURE





A la fois système purement abstrait et conflit guerrier primitif qui fait retour du fond des âges, mettant face à face deux clans originels et élémentaires, le jeu d’échecs semble proposer par lui-même la coïncidence des contraires. Cette richesse et cette variété se retrouvent dans la relation entre jeu d’échecs et littérature. Tour à tour miroir rétrecissant offrant le reflet des intrigues inter-personnelles et des conflits entre les protagonistes au niveau de l’histoire racontée, ou modèle emblématique de la composition du texte, le jeu d’échecs est un objet privilégié susceptible de supporter des niveaux de symbolisation pluriels.

Jacques Berchtold (sour la dir.), Échiquiers d’encre : le jeu d’échecs et les lettres (XIXe-XXe s.), Genève : Droz, 1998, p. 17-18.

Alice au pays des échecs





Rédigé en 1867, A travers le miroir [de Lewis Carroll] est conçu comme une suite d’Alice au pays des merveilles. Après avoir tenté d’enseigner les échecs à son petit chat, Alice décide de passer « de l’autre côté du miroir ». Là, elle accomplit un étrange voyage dans un pays structuré à la façon d’un échiquier, rencontrant de nombreux animaux étonnants et plusieurs personnages extraordinaires. Parmi eux, un roi d’échecs qui se réjouit qu’elle ne puisse voir « personne à cette distance » et une reine qui promet de la confiture « pour chaque lendemain ». Après toute sorte d’aventures, Alice finit par atteindre la huitième case de l’échiquier et donc devient reine, comme le pion promu au jeu d’échecs véritable. Elle préside alors un banquet fastueux et féerique.

http://classes.bnf.fr/echecs/litt/ind_carroll.htm

Murphy (1938) de Samuel Beckett





La partie jouée entre le héros éponyme du roman et Monsieur Endon est non pas métaphorique mais bien réelle, les 43 coups des deux adversaires étant indiqués et commentés par le narrateur. […]

En ce qui concerne la structure globale du roman, la partie ne constitue pas simplement un paroxysme menant presque directement à la mort « accidentelle » du héros, mais elle débouche sur une vision, sorte d’épiphanie. A la suite de son abandon de la partie, Murphy réussit enfin à entrer en contact avec la réalité qui lui avait échappé jusque-là : le Rien. Le Rien constitue son paradis. Ainsi, le jeu d’échecs et la stratégie de la partie conduisant le héros à l’abandon (ne) riment – littéralement – à « Rien ».

La perversion du jeu. La partie d’échecs dans ‘Murphy’ de Samuel Beckett par Edward Bizub in Échiquiers d’encre : le jeu d’échecs et les lettres (XIXe-XXe s.), Jacques Berchtold (sour la dir.), Genève : Droz, 1998, p. 319-334.

Les villes invisibles (1972) d’Italo Calvino




Dans Les Villes invisibles de Calvino, l’empereur Kublai Khan, conscient de ne pas comprendre l’empire qu’il s’est taillé, écoute Marco Polo lui décrire cinquante-cinq villes. Le voyageur occidental, ignorant tout d’abord la langue du Khan, s’exprime par des mimiques et des gestes. Ses pantomimes sont des emblèmes des villes, qui sont elles-mêmes des emblèmes de l’ordre social, si imparfait soit-il. […]

Le Khan de Calvino rêve lui aussi de villes en forme d’échiquiers. S’il parvient à extraire des récits de Polo une grammaire des villes, il pourra créer ou imaginer n’importe quelle ville plutôt que de les découvrir une à une. […]

Kublai tente d’élaborer sa grammaire des villes sur un échiquier. Chaque ville est représentée par l’état de l’échiquier à un moment donné et la suite des coups rattache chaque ville à d’autres villes. […] Mais parce que les villes de Polo sont pleines d’exceptions, d’impossibilités, de contradictions, d’incongruités, comme une partie d’échecs, aucune règle ne peut les embrasser et le Khan se rend compte que l’analogie à laquelle il a travaillé n’a fait qu’imposer aux choses un ordre réducteur.

L’échiquier du Khan : l’échec de l’ordre dans ‘Les Villes invisibles’ de Calvino par Ken Kirkpatrick in Échiquiers d’encre : le jeu d’échecs et les lettres (XIXe-XXe s.), Jacques Berchtold (sour la dir.), Genève : Droz, 1998, p. 469.478.

La « polygraphie du cavalier » dans La Vie mode d’emploi (1978) de Georges Perec


L’idée de départ est de décrire une à une les pièces – et les locataires – d’un immeuble dont on aurait ôté la façade. Perec choisit le 11, rue Simon-Crubellier, dans le dix-septième arrondissement de Paris, le 23 juin 1975, un peu avant huit heures du soir. Vu ainsi, le bâtiment – dont toutes les pièces  en façade, de la cave au grenier, sont visibles, est divisé en cent cases, à l’image d’un damier de 10 x 10.




Pour Pérec, il n’est pas question de laisser au hasard le soin de régir l’ordre des pièces décrites dans le roman. Il choisit donc un principe organisationnel sur lequel il s’est lui-même expliqué à plusieurs reprises : « J’ai […] décidé d’appliquer un principe dérivé d’un vieux problème bien connu des amateurs d’échecs : la polygraphie du cavalier […] ; il s’agit de faire parcourir à un cheval les 64 cases d’un échiquier sans jamais s’arrêter plus d’une fois sur la même case. […] Dans le cas particulier de 'La Vie mode d’emploi', il fallait trouver une solution pour un échiquier de 10 x 10. J’y suis parvenu par tâtonnements, d’une manière plutôt miraculeuse. La division du livre en six parties provient du même principe : chaque fois que le cheval est passé par les quatre bords du carré, commence une nouvelle partie. » (Georges Perec, « Quatre Figures pour La Vie mode d’emploi », L’Arc, 76, 1979, p. 51.)

Mater l’oubli : le jeu d’échecs dans ‘La Vie mode d’emploi’ de Georges Perec par Brigitte Sion in Échiquiers d’encre : le jeu d’échecs et les lettres (XIXe-XXe s.), Jacques Berchtold (sour la dir.), Genève : Droz, 1998, p. 487-496.

UN ROMAN À L’ORIGINE DE LA SÉRIE À SUCCÈS : LE JEU DE LA DAME (1983) DE WALTER NEVIS



Le succès de la mini-série sur Netflix a relancé la mode des échecs. Il s’agit d’une adaptation du roman éponyme de Walter Nevis. Petite fille, Beth Harmon a appris les échecs à l'orphelinat. Prodigieusement douée, elle devient rapidement une joueuse exceptionnelle. Mais le milieu des échecs est féroce, les intrigues les plus sournoises sont permises, et les Etats vont jusqu'à s'affronter à travers leurs champions respectifs. Sa rencontre avec le champion soviétique sera l'occasion d'une confrontation impitoyable.

Un combat et autres récits (1995) de Patrick Süskind




Lorsque commence la partie d'échecs contre ce jeune inconnu arrogant qui déplace ses pièces sans réfléchir en roulant des cigarettes, le héros de Un combat, un vieux joueur expérimenté, comprend que sa carrière est finie... Et son public, pourtant fidèle, le croit aussi. L'issue de la partie dira ce qu'il faut penser de certaines « évidences».

Jeu d’échecs et camps de concentration



Les parties d’échecs menées dans Le maître et le scorpion de Patrick Séry, et dans La variante de Lüneburg de Paolo Maurensig ont lieu dans l’environnement extrême d’un camp de concentration. Dans les deux romans, l’un des joueurs  n’est autre que le commandant S.S. du camp. Passionné d’échecs, il a cherché en vain un adversaire talentueux dans les rangs de ses subordonnés. L’autre est un jeune maître de l’époque de l’avant-guerre. Condamné en raison de son origine familiale, il n’a d’autre choix que d’accepter de jouer contre son bourreau. Au début, les rencontres entre les deux personnages ont pour enjeu la vie du déporté. Plus tard, l’issue des parties implique toujours davantage de victimes.



La variante de l’indicible : une mise en texte du génocide
par Michaël Rinn in Échiquiers d’encre : le jeu d’échecs et les lettres (XIXe-XXe s.), Jacques Berchtold (sour la dir.), Genève : Droz, 1998, p. 539-548.

Le jeu d'échecs dans la littérature


Bibliographie sélective 2021 à télécharger.

LE POLAR SE MET AUX ÉCHECS



Echec et mat : une sélection de 6 romans policiers où le jeu d'échecs occupe une place de choix. 

Le Joueur d’échecs (1836) de Maelzel d’Edgar Allan Poe



Un mystérieux automate habillé à la turque parvient à tromper ses adversaires lors de tournois d'échecs organisés par son propriétaire. Jouant sur une table éclairée à la bougie, cette « pure machine » ne perd quasi jamais. 



Dans cet essai, Poe analyse longuement l’automate joueur d’échecs inventé par le baron Wolfgang von Kempelen en 1769 et montré aux Etats-Unis dans les années 1920 et 1930 par Johann Maelzel, fabricant d’automates musicaux et ancien ami et partenaire commercial de Beethoven.

La manualité et le moi : le joueur d’échecs de Poe par John T. Irwin in Échiquiers d’encre : le jeu d’échecs et les lettres (XIXe-XXe s.), Jacques Berchtold (sour la dir.), Genève : Droz, 1998, p. 117-141.

Loujine, joueur prodige de Nabokov




La défense Loujine
(1930) de Vladimir Nabokov
décrit le processus mental des échecs sous l’angle narratif du joueur. Avec une subtilité psychologique extrêmement détaillée, Nabokov analyse comment, à force d’être obnubilé par sa passion, ce champion d’échecs sombre dans la maladie et doit abandonner la compétition.

[Le roman] n’est pas sans « rappeler », par certains aspects, le célèbre Joueur d’échecs de Zweig, publié pourtant treize ans plus tard, mais que la notoriété aura favorisé face à l’œuvre de Nabokov. Pourtant, si les deux romans partagent un certain nombre de similitudes […], le propos, dans le fond, est totalement différent.

Ce que nous conte Nabokov, en évoquant le destin de Loujine, c’est le feu d’une passion à laquelle une vie est sacrifiée.

https://www.chess-and-strategy.com/

Nabokov, dont la maîtrise des échecs est bien connue, utilisa une nouvelle fois ce thème en 1941, dans son premier roman écrit en anglais The real Life of Sebastien Knight. Dans ce livre, qui est très redevable à Lewis Carroll, l'auteur est une pièce d'échecs et l'échiquier une image réduite du monde.

http://classes.bnf.fr/echecs/litt/ind_nabokov.htm

Un beau ténébreux (1945) de Julien Gracq




Que l’on s’adonne aux échecs dans Un beau ténébreux, n’est en soi guère étonnant : pour les vacanciers de « l’Hôtel des Vagues » la vie sociale prend essentiellement forme autour de leurs loisirs […] Le récit s’agence autour de la précarité des relations liant les protagonistes. Dans ce contexte où les confrontations sont souvent malaisées, voire conflictuelles, le motif des échecs (dont on connaît l’origine et la symbolique guerrières) permet de faire raisonner les tensions qui agitent les protagonistes du roman, et, plus concrètement, de mesurer les rapports de forces qui s’instaurent entre eux.

Julien Gracq et les secrets de l’échiquier par Adrien Gür in Échiquiers d’encre : le jeu d’échecs et les lettres (XIXe-XXe s.), Jacques Berchtold (sour la dir.), Genève : Droz, 1998, p. 349-373.

Europa (1972) de Romain Gary


Europa [est] probablement le plus complexe des romans garyens et où les échecs jouent un rôle central, d’abord métaphorique et parodique, et ensuite comme mise en abyme. D’une part, en effet, le jeu d’échecs y est une métaphore de la lutte entre le roman et la réalité ; d’autre part, métaphoriquement et parodiquement, il renvoie au combat entre le roman garyen et le Nouveau Roman, donc à la divergence absolue entre les deux poétiques du roman, et finalement, comme mise en abyme parodique, il symbolise le formalisme du Nouveau Roman avec sa diégèse et ses personnages qui peuvent être assimilés respectivement à un échiquier et des pièces mues par le pur dessein d’une construction formelle. […]
La métaphore des échecs sature le texte, non seulement par ses liens avec le thème central de la lutte réalité-fiction, mais aussi avec les nombreux sous-thèmes qui en sont dérivés, à commencer par la relation de la culture et de l’Europe qui donne son titre au roman […].




Sur l’échiquier d’Europa s’affrontent l’Europe réelle connotant la science, la mercantilisation, le spectacle, la guerre, l’holocauste, bref, le masculin, le noir, et l’Europe imaginaire, utopique, fictive, idéale, féminine, le blanc. En d’autres termes, le mythe contre la désertification de l’imaginaire qui envahit de plus en plus la réalité au fur et à mesure que la science (la rationalité) et le couple technologie-commerce gagnent du terrain.

Europa ou La défense Gary par Dominique Rosse in Échiquiers d’encre : le jeu d’échecs et les lettres (XIXe-XXe s.), Jacques Berchtold (sour la dir.), Genève : Droz, 1998, p. 479-486.

LA TOUR PRENDS GARDE (1982) DE FERNANDO ARRABAL




[Le] roman qui a obtenu le prix Nadal en 1982, met en scène un tournoi d’échecs au cours duquel Elias Tarsis et Marc Amary se disputent le titre de champion du monde. […] Arrabal assigne aux échecs un rôle sans précédent puisqu’il les incorpore à la trame thématique et structurale de son roman. […] Les personnalités antithétiques des deux personnages principaux du roman reflètent autant la dualité du psychisme de l’auteur que sa vision schizoïde du monde contemporain. Les échecs sont l’instrument rêvé pour transposer cette vision en un conflit central. Le jeu alterné des deux adversaires tout au long de la partie décisive du championnat fait pendant à l’alternance des séquences narratives qui explorent leur vie.

Le jeu d’échecs, intrigue, thème et structure dans ‘La Tour prends garde’ de Fernando Arrabal par Peter L. Podol in Échiquiers d’encre : le jeu d’échecs et les lettres (XIXe-XXe s.), Jacques Berchtold (sour la dir.), Genève : Droz, 1998, p. 529-537.

JEU D’ÉCHECS ET SCIENCE-FICTION : L’ÉCHIQUIER DU MAL (1989) DE DAN SIMMONS



Ils ont le talent. Ils ont la capacité de pénétrer mentalement dans notre esprit pour nous transformer en marionnettes au service de leurs perversions et de leur appétit de pouvoir. Ils tirent les ficelles de l'Histoire. […] Car ils se livrent aussi entre eux une guerre sans merci, selon des règles empruntées à celles des échecs. À qui appartiendra l'omnipotence ? Sans doute à celui qui aura le plus soif de pouvoir.

La Joueuse d’échecs (2005) de Bertina Henrichs




Dans l’île de Naxos, Eleni est femme de chambre dans un hôtel fréquenté par les touristes. La quarantaine négligée, elle mène une vie bien réglée entre son travail, un mari garagiste épousé à dix-huit ans, deux enfants adolescents et une amie d’enfance. Son seul espace de liberté, ce sont les chambres qu’elle fait chaque matin, les objets qu’elle y remarque, à travers lesquels elle imagine d’autres vies… Un jour, par un geste maladroit, elle renverse une pièce sur un échiquier sur lequel une partie est engagée. Sa vie bascule alors, car, de façon inattendue, elle se prend de passion pour ce jeu au grand dam de sa famille et des habitants de l’île plus qu’interloqués. 

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