"Sur le seul rythme d'une ample respiration palpitent dans "la noire" un lac dont les caprices à eux seuls feraient le sujet d'un roman, une forêt qui semble d'Ardenne, un océan qu (...)
Paysages et personnages, avec leurs nostalgies, leurs silences et leurs bavardages, nous sont proposés ici en instantanés très simples, merveilleusement tragiques ou gais, fantasti (...)
Catherine, la narratrice, est jetée à la rue, perdant tout : mari, meubles, dignité. Elle va découvrir qu'une vie doit se frotter aux autres vies, s'user pour briller.