Paru en 1903, ce texte évoque l'enfance et l'adolescence montmartroises de l'auteur. A sa mère, trop tôt perdue et si passionnément aimée, il consacre les pages les plus tendres et (...)
«Il est curieux comme le même mot peut avoir des sens complètement opposés. En art, Académie, c'est la nudité. En littérature, Académie, cela veut dire, jamais trop habillé.»