C'est alors qu'elle mit les deux genoux en terre et lui baisa les pieds. Ramon partit si vite et avec une telle violence que la femme vacilla, puis resta à genoux dans la poussière (...)
S'apercevoir que l'on a vécu une enfance ; la voir refluer sur soi avec émerveillement alors qu'on s'en était toujours défendu ; y lire en même temps une menace, un signe de mort : (...)
Bibliothèque(s) : Bibliothèque Léon Deubel
Car je t'aime, ô éternité ! : roman / Jean Sulivan