Bibliothèque Municipale de
Belfort

Le Supplice des week-ends : nouvelles / par Robert Benchley

Livre | Union générale d'éditions. Paris | 1981

Série 10 18 (Paris).

Suite de chroniques d'humeur par un des humoristes américains les plus virulents et les plus talentueux.

Bibliothèque(s) : Bibliothèque Léon Deubel

Agathe et Béatrice, Claire et Dorothée / Jacques Sternberg

Livre | Albin Michel. Paris | 1979

Auteur que personne n'a jamais réussi à étiqueter, Jacques Sternberg a toujours mélangé à plaisir les genres littéraires et les conventions. Inutile d'en douter, c'est dans ce roma (...)

Bibliothèque(s) : Bibliothèque Léon Deubel

300 contes pour solde de tout compte / Jacques Sternberg

Livre | Manitoba/Les Belles Lettres | 2002

Série Le grand cabinet noir

Un recueil de contes brefs, voire très brefs, empreintes d'absurde, de macabre, de dérision, un humour qui fait rire puis fait réfléchir sur l'horreur de la condition humaine.

Bibliothèque(s) : Bibliothèque Léon Deubel

Les chefs-d'oeuvre de l'érotisme

Livre | Planète | 1964

Série Anthologie planète

Bibliothèque(s) : Bibliothèque Léon Deubel

Le credo

Article | Sternberg, Jacques (1923-2006). Auteur

Les Chefs-d'oeuvre de l'amour sensuel

Livre | Planète | 1966

Série Anthologie planète

Bibliothèque(s) : Bibliothèque Léon Deubel

L'anonyme : roman / Jacques Sternberg

Livre | Albin Michel. Paris | 1982

Jacques Sternberg avait déjà prouvé avec Toi, ma nuit puis avec Sophie, la mer et la nuit, qu'il préférait l'insolite à la psycho, le suspense sexuel à la romance sentimentale. Par (...)

Bibliothèque(s) : Bibliothèque Léon Deubel

Les Chefs-d'oeuvre de la méchanceté

Livre | Planète | 1969

Série Anthologie planète

Bibliothèque(s) : Bibliothèque Léon Deubel

Toi, ma nuit / Jacques Sternberg

Livre | Terrain vague. Paris | 1974

Série 10/18

Bibliothèque(s) : Bibliothèque Léon Deubel

Oeuvres choisies

Livre | La |Renaissance du livre | 2001

Série Les Maîtres de l'imaginaire

"Chez Sternberg, pas besoin de morts-vivants pour faire surgir le tumulte effervescent de la dérision quotidienne. Comme chez Kafka, l'épouvante siège à ciel ouvert et transpire de (...)

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