Artificium perorandi
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Artificium perorandi traditum a Jordano Bruno, communicatum a Johan. Henrico Alstedio... Francofurti. Prostat apud Antonium Hummium. M.DC.XII [1612]
Collection Bibliothèque municipale de Belfort, 8°247
Giordano Bruno (1548-1600), un philosophe victime de l’Inquisition
Emprisonné pendant huit années par l'Inquisition avant d'être brûlé, Giordano Bruno (1548-1600) a connu une existence des plus troublées pour des raisons qui tiennent au contexte intellectuel de l'époque autant qu'à sa propre pensée. Celle-ci, incomprise de ses contemporains, a longtemps été trahie. Il est vrai que les écrits de Bruno, fort divers et d'une grande hardiesse, contiennent une profusion de questions dont il n'est guère aisé de saisir l'unité. Les thèmes les plus intéressants qu'il ait abordés, en philosophe, ont trait à la cosmologie, notamment aux rapports entre l'infinité de l'Univers et l'infinité de Dieu.
(Source : https://www.universalis.fr/encyclopedie/giordano-bruno/)
Artificium perorandi est une œuvre de rhétorique rédigée à partir d'un cours privé donné en 1587 sur la pseudo-aristotélicienne "Rhetorica ad Alexandrum". Le texte fut publié dans une édition posthume par Johann Heinrich Alsted à Francfort en 1612.
L’exemplaire conservé à la Bibliothèque a successivement appartenu à des établissements religieux suisses, puis à un professeur du Collège jésuite de Porrentruy, François-Xavier Rosé.
Sa bibliothèque a été saisie lors de la Révolution alors qu’il était curé d'Altenach, et confiée aux soins de la Ville de Belfort.
Une édition critique de l’œuvre de Giordano Bruno est parue aux Belles Lettres à l’occasion du quatrième centenaire de la mort de Bruno (17 février 2000). Elle est disponible à la Bibliothèque sous les cotes H 11303, H 11304 et H 11305.
Giordano Bruno (1548-1600), un philosophe victime de l’Inquisition
Emprisonné pendant huit années par l'Inquisition avant d'être brûlé, Giordano Bruno (1548-1600) a connu une existence des plus troublées pour des raisons qui tiennent au contexte intellectuel de l'époque autant qu'à sa propre pensée. Celle-ci, incomprise de ses contemporains, a longtemps été trahie. Il est vrai que les écrits de Bruno, fort divers et d'une grande hardiesse, contiennent une profusion de questions dont il n'est guère aisé de saisir l'unité. Les thèmes les plus intéressants qu'il ait abordés, en philosophe, ont trait à la cosmologie, notamment aux rapports entre l'infinité de l'Univers et l'infinité de Dieu.
(Source : https://www.universalis.fr/encyclopedie/giordano-bruno/)
Artificium perorandi est une œuvre de rhétorique rédigée à partir d'un cours privé donné en 1587 sur la pseudo-aristotélicienne "Rhetorica ad Alexandrum". Le texte fut publié dans une édition posthume par Johann Heinrich Alsted à Francfort en 1612.
L’exemplaire conservé à la Bibliothèque a successivement appartenu à des établissements religieux suisses, puis à un professeur du Collège jésuite de Porrentruy, François-Xavier Rosé.
Sa bibliothèque a été saisie lors de la Révolution alors qu’il était curé d'Altenach, et confiée aux soins de la Ville de Belfort.
Une édition critique de l’œuvre de Giordano Bruno est parue aux Belles Lettres à l’occasion du quatrième centenaire de la mort de Bruno (17 février 2000). Elle est disponible à la Bibliothèque sous les cotes H 11303, H 11304 et H 11305.
Visuels
Œuvre complète de Giordano Bruno parue aux Belles Lettres à l’aube des années 2000
Collection Bibliothèque municipale de Belfort, H 11303
Artificium perorandi traditum a Jordano Bruno, communicatum a Johan. Henrico Alstedio... Francofurti. Prostat apud Antonium Hummium. M.DC.XII [1612]
Collection Bibliothèque municipale de Belfort, 8°247
Artificium perorandi traditum a Jordano Bruno, communicatum a Johan. Henrico Alstedio... Francofurti. Prostat apud Antonium Hummium. M.DC.XII [1612]
Collection Bibliothèque municipale de Belfort, 8°247
Statue en bronze de Giordano Bruno (1889) par Ettore Ferrari (1845-1929), Campo de' Fiori, Rome
Portrait de Giordano Bruno d'après une gravure du Livre du Recteur (1578)