Pierre gâche tout, par sa hâte fébrile à précipiter le temps. Il saura trop tôt qu'il ne se hâtait ainsi, que pour arriver plus vite, au rendez-vous de la mort.
« Tout ce qui s’était passé à Paris pendant mes années d’absence confirmait la révolution des mœurs amorcée en 1917. Une génération revenait de la guerre, écœurée d’hier, curieuse (...)