Des quatre nouvelles rassemblées dans Fin de siècle, ce n’est pourtant pas aux plus bariolées qu’iront mes préférences, mais bien à Feu Monsieur le duc, dont le décor se fait aisém (...)
Pierre gâche tout, par sa hâte fébrile à précipiter le temps. Il saura trop tôt qu'il ne se hâtait ainsi, que pour arriver plus vite, au rendez-vous de la mort.