Dans ce texte dérangeant qui célèbre le crime, Genet revient sur son adolescence à la colonie pénitentiaire de Mettray pour dénoncer l'hypocrisie morale de la société d'alors.
Bibliothèque(s) : Bibliothèque Léon Deubel
Les bonnes : version définitive, 1968, suivie de la première version éditée, 1947 / Jean Genet
Une édition enrichie d'une analyse de Michel Corvin en guise de préface, présentant la version définitive ainsi que celle éditée en 1947. L'éditeur a également inséré un court text (...)
Recueil d'une vingtaine de lettres inédites datées du milieu des années 1930 et de la fin des années 1940 qui furent adressées par l'écrivain à Ibis, peudonyme d'Andrée Pragane. Ce (...)
Dans Pompes funèbres (1947), Jean Genet propose une vision homoérotisée d'Hitler, ainsi qu'un regard trouble sur les rapports qu'entretiennent la violence nazie et l'attirance sexu (...)
J. Genet évoque ici les souvenirs de sa détention à l'âge de seize ans à la colonie pénitentiaire de Mettray. C'est un document implacable sur ce bagne d'enfants et le roman de ces (...)
Confié aux éditions Gallimard par J. Genet au milieu des années 1970, ce livre, demeuré à l'état de projet, avait été soigneusement calligraphié par son auteur, avec des instructio (...)