Artisan typographe argentin, Antonio Porchia fait paraître, à partir de 1943, la première série de Voces, recueil de maximes et de pensées. Son seul ouvrage.
Pour le poète, l'homme tend immanquablement vers la chute, mais la poésie, la pensée, le langage et l'amour peuvent lui rendre sa verticalité. Inspiré par Novalis, Roberto Juarroz (...)
Recueil de poésies dont chaque texte est une fenêtre ouverte sur un monde inconnu, monde à l'écart de l'illusoire ici-bas autant que de l'incertain autre monde.
Bibliothèque(s) : Bibliothèque Léon Deubel
Furtive présence : Essai sur la peinture de Denise Esteban / Roger Munier