Une oeuvre à la fois violente, crue, drôle et horrible, selon Philippe Sollers, qui sous la forme d'une fresque autobiographique dépeint le rapport de l'auteur au sexe.
Salué comme une révélation en 1952, Requiem des innocents est le premier livre de Louis Calaferte. Il garde aujourd'hui toute sa virulence et demeure un des grands cris de révolte (...)
Peut-on appeler «Nouvelles» ces 200 pages de courts textes ? Il vaut mieux dire, comme l'auteur, Autoportrait à travers le récit, toujours renouvelé, de ses angoisses et obsessions (...)