Paru en 1922, ce texte qui se révèle d'un style impeccable, amorce déjà, malgré le "collage" des manifestes dadaïstes de l'auteur, la rupture devenue nécessaire avec dada.
La nouvelle Le mentir-vrai, qui donne son titre au recueil, est un texte capital qu'Aragon considérait comme une sorte d'art romanesque. Il y évoque ses années d'enfance en mélange (...)
Quand j'ai connu Blanche, elle portait un petit chapeau de feutre, cloche, très enfoncé, d'un feutre extraordinairement tendre, léger, mou, comme si ça lui avait fait quelque chose (...)