Le jeu d'échecs dans la littérature
"Il y a plus d'aventures sur les soixante-quatre cases que sur toutes les mers du monde." Pierre Mac Orlan, L'Ancre de Miséricorde, 1941.
Jeu d'échecs et littérature entretiennent depuis longtemps une relation singulière où chacun s'enrichit mutuellement. De nombreux écrivains, à l'instar de Nabokov et Zweig, utilisent le jeu d'échecs comme thème littéraire à part entière ou élément central de leur intrigue.
Jeu d'échecs et littérature entretiennent depuis longtemps une relation singulière où chacun s'enrichit mutuellement. De nombreux écrivains, à l'instar de Nabokov et Zweig, utilisent le jeu d'échecs comme thème littéraire à part entière ou élément central de leur intrigue.
Retrouvez notre sélection de 15 romans "échiquéens".
LE POLAR SE MET AUX ÉCHECS
Echec et mat : une sélection de 6 romans policiers où le jeu d'échecs occupe une place de choix.
Des cases et des bulles
© Philippe Geluck, Le Chat est parti, Casterman, 2014.
Le jeu d’échecs de par son esthétique, ses règles ou son histoire est une source d’inspiration à la dimension métaphorique évidente pour la bande dessinée.
Les problèmes d'échecs de Nabokov
Mat en deux coups
La collection échiquéenne Jean Mennerat
Léguée à la Ville de Belfort en 2008, cette collection comprend environ 20000 livres et 1000 titres de revues, ce qui en fait la collection la plus importante en France, mais aussi l'une des quatre les plus prestigieuses du monde, tant en nombre de volumes qu'en terme de valeur des ouvrages.
Le premier poème consacré aux échecs
L'humaniste italien Marco Girolamo Vida publie en 1527 Scacchia ludus (Le Jeu d’échecs), le plus ancien poème consacré aux échecs.
Les échecs par JOSEPH-ANTOINE CERRUTI
Joseph-Antoine Cerruti, homme de lettres et journaliste français, député proche de Mirabeau pendant la Révolution, fut également un passionné par le jeu des échecs, il compose une poésie de 400 vers consacrée au jeu d'échecs.
Anthologie de littérature échiquéenne
Jeu d'échecs. De chaque coté du jeu on voit des combats ; à gauche, des fantassins, à droite, des cavaliers (1629). Graveur non identifié, 1629. ©BnF